La conférence Soutien à l’agriculture : où en est-on ? organisée par la FARM, le 16 février 2018 sur le site de Crédit Agricole S.A. à Montrouge, a présenté les résultats préliminaires d’une étude de la fondation sur le soutien à l’agriculture dans le monde. Deux tables rondes ont dressé un bilan du soutien octroyé par les États aux agriculteurs, selon le niveau de revenu des pays, et fait le point sur les négociations agricoles à l’Organisation mondiale du commerce (OMC).► ...

Jean-Christophe Debar, directeur de FARM, est intervenu devant l’Association des amis de l’Académie d’agriculture de France, le 15 mai, pour présenter les activités de la fondation. Il a centré son propos sur trois sujets qui prêtent à controverse en matière de développement : l’augmentation de la productivité du travail agricole en Afrique, la gestion des risques climatiques et de marché, la construction de filières agroalimentaires plus inclusives.► ...

FARM accueille, pour une durée de six mois, Abdoul Fattath Tapsoba pour un stage de Master 2 de recherche développement agricole durable à l’université Paris sud-Paris Saclay. Dans la continuité du précédent stage effectué au sein de la fondation, Abdoul Fattath Tapsoba participera à la construction d’un observatoire du soutien à l’agriculture dans le monde. Il réalisera également une étude sur l’évolution de la protection à l’importation sur les produits agricoles bruts et transformés dans les principales régions.► ...

Maxime Cumunel, adjoint au directeur de FARM, participait aux Africa Days organisés par SOS Sahel à Dakar les 3 et 4 mai 2018, sur le thème "Cap vers une agriculture familiale". A l'issue d'échanges avec de nombreux porteurs de projets de la sous-région, il est intervenu en clôture de la seconde table ronde, consacrée aux initiatives permettant des créer des partenariats économiques viables, et y a présenté les premières conclusions du groupe de travail sur la contractualisation animé par la fondation depuis un an.  ► ...

La plupart des gouvernements africains se sont maintenant dotés de plans qui visent à faire de leur pays un pays émergent en moins d’une génération. Pour ce faire, ces plans prévoient un effort massif d’investissements dans les infrastructures de base (transport, énergie, technologies numériques) ainsi que dans les infrastructures sociales (santé, emploi, protection sociale, l’accès à l’eau potable, assainissement, culture…). Si les finances publiques jouent un rôle central pour réaliser ces investissements, elles ne pourront pas satisfaire la totalité des besoins dans tous les secteurs concernés. D'où un besoin d'investissements privés massifs devant accompagner et compléter les investissements publics.► ...