Erik Orsenna, de l’Académie française, vice-président de FARM, publie L’avenir de l’eau, Petit précis de mondialisation II .
" Dans dix ans, dans vingt ans, aurons-nous assez d’eau ? Assez d’eau pour boire ? Assez d’eau pour faire pousser les plantes ? Assez d’eau pour éviter qu’à toutes les raisons de faire la guerre s’ajoute celle du manque d’eau ? Dans l’espoir de répondre à ces questions, je me suis promené. Longuement. Du Nil au Huang He (Fleuve Jaune). De l’Amazone à la toute petite rivière Neste, affluent de la Garonne. De l’Australie qui meurt de soif aux îles du Brahmapoutre noyées par les inondations..."
"Un moment, je lui parle de noter fondation FARM et de l’"université du coton" que nous sommes en train de monter. Elle aide les agriculteurs de l’Ouest africain à réfléchir justement en termes de filière et de syndicats paysans. La réussite de l’agriculture française repose sur des structures solides." (page 306)
Et notamment le chapitre sur le Maroc, Le Tadla (page 270) et celui sur le Sénégal (page 295) , Pourquoi les Sénégalais manquent-ils de riz ?
Suite au texte de Thierry Ruf « A propos de l’Avenir de l’eau d’Erik Orsenna », Erik Orsenna et Bernard Bachelier, directeur de FARM, publient leurs réponses Lire la suite